Envoyer ses enfants au Royaume-Uni, en Australie ou aux États-Unis pour apprendre l’anglais est une excellente idée ! Cependant, cela coûte très cher et, au vu de l’expérience de nombreux parents, il est essentiel de réfléchir avant de se lancer dans l’aventure…
Oui, cela peut paraitre étonnant, mais plus de 20 % des parents regrettent que leur enfant ait parlé plus français qu’anglais aux U.S.A. …
Par ailleurs, il est étonnant de vouloir envoyer son enfant sans un minimum de préparation, de bagages linguistiques.
À ABCzaam, nous avons donc opté pour une solution concrète et efficace : faire venir des « native speakers » en Belgique plutôt qu’envoyer nos jeunes dans une aventure hasardeuse où la fatigue, le stress, l’éloignement, l’incompréhension de la langue vont l’amener soit à se trouver des amis francophones, soit à amener l’interlocuteur à améliorer son français…
Des stages immersifs et captivants
Dans les stages d’ABCzaam, les jeunes jouent, s’amusent et ont cours encadrés toute la journée par des professeurs et moniteurs qui ne pratiquent que l’anglais. Les résultats, en une semaine, sont époustouflants !
En suivant ce lien, « témoignage d’Amandine et et Marine » (un reportage télé), vous trouverez de nombreuses informations à ce propos…
Un des faits qui interpelle fortement les parents, c’est que, lorsqu’ils viennent rechercher leur jeune après une semaine, celui-ci a des difficultés à penser à nouveau en français et répond spontanément en anglais.
Une garantie de satisfaction
Nous sommes tellement convaincus de notre méthode de travail que nous vous proposons un remboursement du stage si celui-ci n’est pas efficace (hors frais de logement et de bouche).
Les stages d’anglais en immersion se déroulent à Saint-Hubert, dans un domaine suffisamment grand que pour ne pas y entendre parler français. Le domaine regroupe des bâtiments spacieux, internat, école et hall omnisports, ainsi que de vastes espaces, plusieurs cours, etc. Comme dans tous nos stages, les stagiaires disposent d’une chambre individuelle.
Quelques pas rapides ou par le moyen d’un bus et nous nous retrouvons très vite dans un lieu où là encore nous exigeons l’exclusivité afin que nos jeunes n’entendent pas parler une autre langue que l’anglais.
La piscine de Saint-Hubert, par exemple, nous est réservée exclusivement.
1. D'abord communiquer : faire parler, jouer, chanter,...
2. Ensuite, corriger aimablement les erreurs...
3. Et, enfin, répéter naturellement la formulation correcte
1. Pour 36 jeunes, il y a 14 personnes "native" sur place.
2. En classe: un max. de 9 élèves, voire 7 élèves pour les niveaux débutants I Idem pour les activités sportives, ...
3. Aux moments des repas et détente, tout le monde est là.
1. Le stagiaire vient d'abord pour s'épanouir et s'amuser.
2. Ensuite, les "circonstances" l'amènent à devoir pratiquer la langue-cible.
3. Enfin, pour lui, utiliser l'outil-langue devient une nécessité, un défi, donc un amusement, et, évidemment, une réussite.
1. Il y a de nombreuses aides et réductions
2. Des bénévoles enthousiastes qui se donnent à fond.
3. Une volonté d'offrir en permanence de la qualité à nos jeunes : Des repas aux cours, des activités au moments sportifs... Pas de hasard !